Afin d’informer celles et ceux qui se sentent concernés par ce blog et ce que nous vivons, nous allons publier un EDITO, et ce de façon régulière pour décrire l'évolution des choses.
Que cette dernière soit inexistante, négative ou positive.
Ce blog perdurera le temps qu’il faudra. Nous resterons vigilants et dénoncerons ce qui doit l’être, jusqu’à qu’une action réelle, constructive, globale et inscrite dans la durée soit menée, réalisée et par-dessus tout finalisée.
Voici donc l’EDITO N° 1.
Rendons à César… la nuit dernière a été paisible ! Oui... paisible.
Un miracle ?
Pas vraiment. C’est surtout le Journal LE PARISIEN qu’il faut ici remercier. L’info a circulé et ceux dont nous réprouvons les agissements ont sans doute eu vent de notre action. Tant mieux.
DORMIR enfin… D… O… R… M… I… R… après 88 nuits loin des bras de Morphée, croyez-bien que cela se savoure.
Il n’empêche que l’on ne peut nullement crier victoire, les nerfs de beaucoup sont atteints. 88 nuits estivales sans sommeil, fenêtres fermées qui plus est, cela laisse des traces. En vacances ou pas, pour beaucoup l’épuisement est réel et l’agacement encore plus.
L’article du PARISIEN a néanmoins permis de faire connaître notre situation, et le nombre de signatures au regard de la pétition qui a été lancée augmente… il faut que cela continue.
Ce matin, malgré le bénéfice de cette vraie nuit de sommeil, certains ont néanmoins été stupéfaits et déçus par le commentaire de la Mairie de notre arrondissement dans l’article d’hier. (Voir article du PARISIEN plus haut).
Rappelons que le mot POLITIQUE signifie « science des affaires de la Cité », et sous-tend la gestion de la dite cité; ce qu’avait bien compris notre vieil ami Périclès, contrairement à certains de nos contemporains, semble-t-il.
Selon la Mairie « IL N’Y A PAS DE TRAFIC DE DROGUE… …CE SITE N’EST PAS PLUS DANGEREUX QU’UN AUTRE ».
Étrange réaction, qui nous amène à 4 conclusions possibles, sur le comment du pourquoi d’une telle réponse :
1ère conclusion :
Les riverains mentent. Nous avons toutes et tous été victimes d’hallucinations visuelles, sans doute causées par la trop forte chaleur estivale, d’autant que nous avons passé l’été avec nos fenêtres fermées pour nous protéger le plus possible des nuisances sonores. Ce manque « d’aération » n’a pu qu’aggraver nos capacités mentales et par là même accentuer nos visions.
Il n’y aurait donc jamais eu d’attroupements de véhicules – de jour comme de nuit - devant la CRÈCHE au 11bis rue Edouard ROBERT, et encore moins de trafic illicite. Jamais !
Sans doute des échanges d’images Panini, pardi ! Qu’ils sont bêtes ces riverains…
2nde conclusion :
La Mairie est parfaitement au courant de tout ce qui se passe dans « l’axe rue EDOUARD ROBERT, rue de TOURNEUX et rue de FECAMP », mais a décidé de ne rien faire. Ces axes étant constitués pour l’essentiel d’habitations à loyers modérés (mais pas uniquement).
3ème conclusion
La Mairie n’est au courant de rien, et pour ne pas paraître démunie face à la Presse, nous a concocté une magnifique réponse édulcoréé en provenance directe du Pays des Bisounours « tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil ! ». Alors qu’on aurait préféré une réponse réaliste du genre :
"...nous allons faire notre possible pour comprendre ce qui se passe et faire le nécessaire pour trouver des réponses avec nos concitoyens afin de leur permettre de vivre comme tout à chacun, dans la sécurité et le calme."
Que c’est beau on dirait une proposition de campagne électorale ! Si si !!!
4ème conclusion
La Mairie a commis là, une petite bourde. Ben quoi, ça arrive à tout le monde.
C’est la fin de l’été, il fait encore chaud, la rentrée s’annonce, la tête est encore aux vacances, au farniente et au youcoulélé…
Ne soyons point mesquin, l’erreur est humaine ma bonne dame et dans notre grande mansuétude nous retenons cette conclusion, emprunte de réalisme et surtout d’espoir.
Sans doute d’autres conclusions existent, il n’en reste pas moins que nous tendons la main à notre Mairie. Il nous faut travailler de concert au plus vite afin que les choses changent enfin.
Même si la nuit dernière fut une vraie nuit, TOUT RESTE A FAIRE.
Il faut travailler sur l’avenir, le printemps prochain et l’été prochain. Personne ne désire revivre un été pareil.
En plus du trafic et des nombreuses nuisances sonores que nous subissons depuis 6 mois, il faut savoir par exemple que le 14 Juillet rue ÉDOUARD ROBERT ne dure pas une journée comme quasiment partout, mais 5 longs et merveilleux jours accompagnées de leurs 5 longues et encore plus merveilleuses nuits :
Amis cardiaques fuyez !!!
Mais nous nous égarons, sans doute le retour de ces satanées hallucinations… c’est que l’été n’est pas encore fini, et qu’il fait chaud.
À moins que ce ne soit ce trop plein de sommeil de la nuit dernière...
Que cette dernière soit inexistante, négative ou positive.
Ce blog perdurera le temps qu’il faudra. Nous resterons vigilants et dénoncerons ce qui doit l’être, jusqu’à qu’une action réelle, constructive, globale et inscrite dans la durée soit menée, réalisée et par-dessus tout finalisée.
Voici donc l’EDITO N° 1.
Rendons à César… la nuit dernière a été paisible ! Oui... paisible.
Un miracle ?
Pas vraiment. C’est surtout le Journal LE PARISIEN qu’il faut ici remercier. L’info a circulé et ceux dont nous réprouvons les agissements ont sans doute eu vent de notre action. Tant mieux.
DORMIR enfin… D… O… R… M… I… R… après 88 nuits loin des bras de Morphée, croyez-bien que cela se savoure.
Il n’empêche que l’on ne peut nullement crier victoire, les nerfs de beaucoup sont atteints. 88 nuits estivales sans sommeil, fenêtres fermées qui plus est, cela laisse des traces. En vacances ou pas, pour beaucoup l’épuisement est réel et l’agacement encore plus.
L’article du PARISIEN a néanmoins permis de faire connaître notre situation, et le nombre de signatures au regard de la pétition qui a été lancée augmente… il faut que cela continue.
Ce matin, malgré le bénéfice de cette vraie nuit de sommeil, certains ont néanmoins été stupéfaits et déçus par le commentaire de la Mairie de notre arrondissement dans l’article d’hier. (Voir article du PARISIEN plus haut).
Rappelons que le mot POLITIQUE signifie « science des affaires de la Cité », et sous-tend la gestion de la dite cité; ce qu’avait bien compris notre vieil ami Périclès, contrairement à certains de nos contemporains, semble-t-il.
Selon la Mairie « IL N’Y A PAS DE TRAFIC DE DROGUE… …CE SITE N’EST PAS PLUS DANGEREUX QU’UN AUTRE ».
Étrange réaction, qui nous amène à 4 conclusions possibles, sur le comment du pourquoi d’une telle réponse :
1ère conclusion :
Les riverains mentent. Nous avons toutes et tous été victimes d’hallucinations visuelles, sans doute causées par la trop forte chaleur estivale, d’autant que nous avons passé l’été avec nos fenêtres fermées pour nous protéger le plus possible des nuisances sonores. Ce manque « d’aération » n’a pu qu’aggraver nos capacités mentales et par là même accentuer nos visions.
Il n’y aurait donc jamais eu d’attroupements de véhicules – de jour comme de nuit - devant la CRÈCHE au 11bis rue Edouard ROBERT, et encore moins de trafic illicite. Jamais !
Sans doute des échanges d’images Panini, pardi ! Qu’ils sont bêtes ces riverains…
2nde conclusion :
La Mairie est parfaitement au courant de tout ce qui se passe dans « l’axe rue EDOUARD ROBERT, rue de TOURNEUX et rue de FECAMP », mais a décidé de ne rien faire. Ces axes étant constitués pour l’essentiel d’habitations à loyers modérés (mais pas uniquement).
3ème conclusion
La Mairie n’est au courant de rien, et pour ne pas paraître démunie face à la Presse, nous a concocté une magnifique réponse édulcoréé en provenance directe du Pays des Bisounours « tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil ! ». Alors qu’on aurait préféré une réponse réaliste du genre :
"...nous allons faire notre possible pour comprendre ce qui se passe et faire le nécessaire pour trouver des réponses avec nos concitoyens afin de leur permettre de vivre comme tout à chacun, dans la sécurité et le calme."
Que c’est beau on dirait une proposition de campagne électorale ! Si si !!!
4ème conclusion
La Mairie a commis là, une petite bourde. Ben quoi, ça arrive à tout le monde.
C’est la fin de l’été, il fait encore chaud, la rentrée s’annonce, la tête est encore aux vacances, au farniente et au youcoulélé…
Ne soyons point mesquin, l’erreur est humaine ma bonne dame et dans notre grande mansuétude nous retenons cette conclusion, emprunte de réalisme et surtout d’espoir.
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Sans doute d’autres conclusions existent, il n’en reste pas moins que nous tendons la main à notre Mairie. Il nous faut travailler de concert au plus vite afin que les choses changent enfin.
Même si la nuit dernière fut une vraie nuit, TOUT RESTE A FAIRE.
Il faut travailler sur l’avenir, le printemps prochain et l’été prochain. Personne ne désire revivre un été pareil.
En plus du trafic et des nombreuses nuisances sonores que nous subissons depuis 6 mois, il faut savoir par exemple que le 14 Juillet rue ÉDOUARD ROBERT ne dure pas une journée comme quasiment partout, mais 5 longs et merveilleux jours accompagnées de leurs 5 longues et encore plus merveilleuses nuits :
- courses de scooters sans fin, à fond le turbo, de bas en haut, de haut en bas, sur deux roues, sur une roue !
- lancés de pétards - plus gros que des cigares cubains - assourdissants, 24h/24 !
Amis cardiaques fuyez !!!
Mais nous nous égarons, sans doute le retour de ces satanées hallucinations… c’est que l’été n’est pas encore fini, et qu’il fait chaud.
À moins que ce ne soit ce trop plein de sommeil de la nuit dernière...
Un prochain ÉDITO très bientôt, pour faire le point.

Vu l'article du Parisien du 28-8-09
RépondreSupprimerMoi et les riverains avons connus le mm problème dans le 14e ARR.
Exactement le mm "bordel" pendant 3 ans, oui ! vous avez bien lu 3 ans.
Ces individus me connaissaient, et je fus insulté très régulièrement et menacé de mort. (très important de le signaler au Préfet).
Je pense que l'article du "Parisien" peut faire "bouger" le commissaire du 12e, pour cela , il faut lui envoyer... ainsi qu'au Préfet...etc...
- Après de très nombreuses interventions de ma part, tel au commissariat,
le jour , la nuit, sans très peu de résultat, j'ai envoyé un courrier à notre cher Président de la république, ministre de l'intérieur, Préfet de Police, commissaire de Police, Police de proximité, association contre le bruit, maire de l'arrondissement etc...
-Après de longues palabres et plusieurs plaintes des riverains et des commerçants au commissariat, (plaintes collectives, adressées par courrier), le commissaire, sur ordre du Préfet a envoyé des policiers pour "planquer"
pour un flagrant délit. En effet, huit jours après , les policiers appréhendaient plusieurs individus armés de couteaux et possédant des drogues illicites. Dans les faits, les policiers qui connaissent très bien ce genre de phénomène de regroupements d'individus cherche quand ils en ont l'ordre, le, ou les leaders. En une journée tous les individus avaient disparus. Je fus cambriolé le lendemain (porte défoncée, et plusieurs vols d'appareils informatique).
L'intervention des policiers a eu lieu en Mai dernier, depuis plus rien ou presque, et je reste vigilant. Le responsable de la brigade de police de quartier m'a reçu et depuis j'ai un n° de tel direct "police secours" que je peux appeler le jour et la nuit.
J'étais excédé, il était donc temps d'intervenir...
mon Mail: rtop1@noos.fr
Bon courage!
Il y a eu le même problème rue du Volga à Paris 20°.
RépondreSupprimerJuste en face d'une résidence Paris-habitat.
Déjà c'est dur d'élever ses gamins avec 3 pièces pour une famille de trois enfants.
Quand les jeunes voient qu'on peut faire tout et n'importe quoi impunément, scooter sans casque ni permis, cris et musique la nuit tous les soirs et j'en passe, ils prennent vraiment les parents respectueux des autres et des lois pour des attardés.
Que la loi soit bafouée aussi ouvertement, c'est le meilleur moyen de recruter des jeunes pour les bandes.
La politique du carreau cassé que l'on répare de suite, c'est à Paris à mourir de rire.
En réponse à riverain de paris, je suis bien d'accord...
RépondreSupprimerCe qui me paraît très important, c'est de ne pas laisser s'installer ce genre de regroupement d'individus souvent issus de familles logées "socialement" pas très loin du site concerné.
Ce qui se passe à Paris, c'est ce qui c'est passé en "banlieue" il y a plus de 10 ans.
Soyons vigilants, la pègre ne doit pas s'installer, car il s'agit bien d'une espèce de pègre.
Prévenons les "autorités" au plus haut niveau, déposons plaintes sur plaintes, informons les médias.
mon Mail: rtop1@noos.fr
Quelle sont les nouvelles, suite à l'article du "Parisien" ?
A bientôt vous lire,
Courage !